Lors de la première édition du Vendée Globe, de 1989-1990, a eu lieu  le sauvetage de Philippe Poupon par Loïck Peyron. Son bateau était sur le flan renversé par une vague. Pour venir en aide à son camarade, Loïck Peyron a remorqué son bateau. Philipe Poupon a ainsi pu larguer son mât d'artimon (*dernier mât, ou mât arrière, dans un navire à 3, 4 ou 5 mâts. Le mât d'artimon est le plus petit) pour que son bateau puisse se redresser. Dans cette même course, il y a eu 6 abandons sur 13 partis au départ.

     Il faut aussi savoir, à propos du règlement, que le skipper n'a en aucun cas le droit de recevoir d'assistance ou aide extérieure, demandée ou non, telle que :
- Une assistance météorologique personnalisée
- L'assistance d'une tierce personne, qu'elle soit embarquée sur un bateau ou dans un aéronef
- Une aide médicale personnalisée ayant pour objet d'améliorer ses performances.
- L'assistance météorologique ou géographique personnalisée, également nommée «Routage». Entre autre, le routage est interdit. 
 

 

 

 

Dans une course il peut y avoir des abandons de courses, en moyenne cela représente 53 %. Malheureusement, ce triste record a été battu en 2008-2009 qui a compté 63 % d'abandons au total. 

    Les skipper peuvent accumuler environ 7 heures et plus de sommeil. Dans une course maritime comme celle-ci, il faut savoir que le meilleur moment pour dormir, est d'ailleurs pendant le mauvais temps. Et oui, contrairement aux croyances, ce n'est pas pendant le beau temps qu'il faut se reposer, au contraire, le beau temps est propice au séjour qui pourra profiter des bonnes conditions climatiques pour avancer plus vite. Et pendant les mauvais temps, il pourra se reposer étant donné que pendant les vents forts le bateau est calé avec sa toile.

    Le saviez-vous ? Les navigateurs portent six couches de polaires (4 petites polaires et deux grosses). Ils ne les portent que pour l’intérieur du bateau, car il ne faut jamais sortir couvert de cette manière dehors, pour éviter de transpirer sous cette épaisse couche de vêtements et d'attraper froid par la suite, alors il porte moins d'habits (contrairement à ce que vous pensez).

    Par mois, il est dépensé environ 20 000 euros pour les communications à bord du bateau. 50 % est pour la météo et l'autre moitié pour envoyer des images (c'est énorme !)

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Lors de la première édition il y a 23 ans, la première course du Vendée Globe a été gagnée après avoir duré 31 jours et 6 heures. La premier course avait duré au total 109 jours et 8 heures pour le premier arrivé (Titouan Lamazou). Et cette dernière course bat encore une fois les records, 74 jours 03h 35 min et 47 sec. Donc, en moyenne, à chaque édition, on gagne 4 jours sur la durée de la course.

    Étonnant ! Les skipper perdent entre 14 et 7 kilos lors de la course !

130 décibels enregistrés sous un winch lors d'un choqué de la voile avant. Le niveau sonore moyen permanent à l'intérieur du bateau est de 80/90 décibels. L'équivalent du bruit du passage d'un poids lourd. Un niveau est élevé si l'on songe que celui des boîtes de nuit est plafonné à 105 décibels. La plupart embarque avec un casque anti-bruit.

Merci d'avoir bien voulu lire jusqu'ici alors pour vous remercier,

Le vent des Globes vous salut ! 

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Clara CAMPOY et Noëline DUGNY, 4B

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